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La Maïeutique


La Maïeutique est la philosophie de SOCRATE*. La Maïeutique est L’art de faire découvrir à l’interlocuteur, par une série de questions, les vérités qu’il a en lui. Grâce à cet ART, l’individu comprend par lui-même et non plus en se reposant sur ses opinions ou ses convictions, souvent erronées. Une philosophie à visée pratique. On a d’ailleurs souvent comparé Socrate, fils de sage-femme, à un « accoucheur d’esprits ». Socrate voulait en effet faire réfléchir l’homme sur lui-même, persuadé que seule cette attitude permet d’avancer sur le chemin de la vérité et, donc, de la sagesse et du bonheur : c’est le fameux « Connais-toi toi-même ». Socrate ne vise pas un simple savoir, mais un savoir-vivre. Avec Socrate, la philosophie se tourne ver l’éthique mais reste toujours appuyée sur le vrai savoir.

(A l’inverse, les sophistes (philosophes grecs adversaires de Socrate et de Platon) utilisent le raisonnement se présentant avec les apparences de la vérité, dans l’intention de tromper ou de créer un embarras).

« Les gens qu’on interroge, pourvu qu’on les interroge bien, trouvent d’eux-mêmes les bonnes réponses ».

Géraldine MAINCENT

*SOCRATE (vers -470 -399)

La Maïeutique est la philosophie de SOCRATE*. La Maïeutique est L’art de faire découvrir à l’interlocuteur, par une série de questions, les vérités qu’il a en lui. Grâce à cet ART, l’individu comprend par lui-même et non plus en se reposant sur ses opinions ou ses convictions, souvent erronées. Une philosophie à visée pratique. On a d’ailleurs souvent comparé Socrate, fils de sage-femme, à un « accoucheur d’esprits ». Socrate voulait en effet faire réfléchir l’homme sur lui-même, persuadé que seule cette attitude permet d’avancer sur le chemin de la vérité et, donc, de la sagesse et du bonheur : c’est le fameux « Connais-toi toi-même ». Socrate ne vise pas un simple savoir, mais un savoir-vivre. Avec Socrate, la philosophie se tourne ver l’éthique mais reste toujours appuyée sur le vrai savoir.

(A l’inverse, les sophistes (philosophes grecs adversaires de Socrate et de Platon) utilisent le raisonnement se présentant avec les apparences de la vérité, dans l’intention de tromper ou de créer un embarras).

« Les gens qu’on interroge, pourvu qu’on les interroge bien, trouvent d’eux-mêmes les bonnes réponses ».

Géraldine MAINCENT

*SOCRATE (vers -470 -399)

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